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because no smoke.no milk.
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18 août 2010

again

rentrée.

repue. assoifée. la peau caramel. la langue encore plus rose. des plaqes rosatres sur le cu.

ramené encore plus de fringues, de bijoux, de bouffes.

des pates colorés. de l'huile. de l'alcool. deverser sur les seins et le nombril.

a moitié ruiné. mais je continue plus fort.

des boots, un treggings. une ceinture.un fouet, un masque, des boules a s'enfoncer.

l'envie brut qui revient

percer dans la chair tendre du mamelon, le tatoo aux douces rosaces noiratres.

1 seul membre. 1 seul membre. 1 seul membre.

plus d'envie dans le corps. pour tant si. mais plus avec lui.

je sors sa queue, il bande comme un taureau. ses doigts dans mes cheveux, son souffle s'accèlere, il dit putain cque tu suces bien, je souries meme pas, continuant methodiquement, melancoliquement. il dit putain cque j'aimes ta bouche, je respire comme un battement manqué, il dit j'vai jouir, contraction des molaires, son sperme qui eclate comme un fruit trop mur.

alors il reste quoi de ces deux semaines?

des cartes postales envoyés ou non, des tonnes d'huilé etalé en petit blob sur le sol, des fringues, des coroles de couleurs, un chapelet noyé entre les seins, du maquillage de phoque et de truites eventrés. du bleu comme un pachwork d'etoiles. le blanc des monuments.

Y me manque. j'ai besoin d'une Amie. j'en ai qu'une, la deuxieme compte pour du beurre.

je m'abrutie de connerie visuelles. des series de gonzesses. des trucs de bourgeoises qui s'ennuient. il faudrait que je lise lady chatterley aussi. je me souviens l'avoir commencé. le vert des arbres tout autour, encore trop jeune pour le temps perdu, cherchant comme une desoeuvré les pages ou il y'aurait des chairs denudés. je cherchai le mot sexe, abricot, jus, foutre et clavicule. mais c'etait sans savoir qu'il s'agissait d'une douceur folatre tout autre.

elle avait trouvé de vieux bouquins erotiqus appartenant a sa mere. les avaient cachés sous son tee shirt et lu. copieusement, religieusement sous son lit. la culotte s'humidifiant a mesure que les dents et les langues s'entrechoquaient.

le Frere a acheté des Lutti. c'est bon ces trucs pourri a base de bébé biches. surtout les sortes de langue rouge. striés. toutes petites qu'on pouvait acheter a l'epicerie du coin. pouvant atteindre les deux metres.

je maigri selon M. moi je ne vois rien. je ne bouge pas. toujours la meme taille fine, les hanches plus epaisses. la bouche bien rouge.

meme pas envie de baiser ailleurs.

ou alors un vrai parfait inconnu. avec des lou noirs eb velours.

oyez oyez je veux mon bal

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